Point d’attention , cette information concerne les sites ayant un traffic important mais peut aussi impacter les sites plus petits lorsqu’un webmaster décide par exemple de mutualiser des coûts. La presse, les médias ont très largement recours à la location de sous-domaines, notamment pour monétiser leur très bon SEO. Concrètement, les gros acteurs louent des sous-domaines, ou les utilisent pour d’autres thématiques. Par exemple, un espace finance alloué à une banque se transformera en cartedecreditmachintruc.nomdumedia.com, laissant un flou autour de l’éditeur de l’espace, le partenariat n’étant pas toujours cité.
La pratique est peu claire et joue vraiment sur les zones grises admises par Google. Ce dernier a annoncé en août que cela serait pénalisé, et que les sous-domaines incriminés verraient des baisses de trafic organique. Aujourd’hui Google est capable de voir si un sous-domaine n’est pas dans la même thématique que le site principal, et donc si ce sous-domaine est loué.
Comme le révèle un tweet de Glenne Gabe, la pénalisation des sous-domaines loués serait en cours. La chute de trafic serait de plus de 40% pour certaines sites.
En poussant la réflexion de l’utilisation abusive, il ne serait pas étonnant que le titulaire du domaine principal ( la presse dans notre exemple ) soit prochainement pénalisé par Google.